Elle venait d’Arménie et fabriquait du papier parfumé. Elle était douce aimable et gracieuse ; elle supportait sans escarmouche que l’on traduise son prénom par confiture. Et c’est vrai quoi de plus doux que les confitures faire par Grand-mère. Mais son rêve profond c’était le chant lyrique. Elle fredonnait toute la journée l’opéra éponyme d’Armen Tigranian inspiré du poème de Hovhannès Toumanian… C’était alors qu’elle rencontra Abour, un vendeur de soupe de douceurs, en fait un dessert très sucré à base de blé et des raisins et des abricots secs. Il portait un tarbouch irrésistible et bien qu’un peu farouche, elle le suivit néanmoins sous la douche, mais ne brûla pas toutes ses cartouches.
Il lui offrit un cartouche serti d’un palotouche et la sainte nitouche fondit comme un croquembouche et finit dans sa couche.
Billet programmé
J’ai lu avec plaisir et gourmandise. Bon voyage en Chine. Un pays si grand, si plein d’histoires. Bises
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Une jolie romance pour Anouch et Abour , bravo .
Bonne journée
Bisous
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coucou du jour
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Alors, ce qui devait arriver, arriva ! Bonne poursuite de ce mercredi Lilou !
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Tout est bien qui finit bien!!!
Bravo!
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la douceur et la romance vont bien ensemble ces 2 là se sont rencontrés !
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Bonjour,
Une bonne douceur de la vie, de celle que l’on aime!
Bonne journée
Bises
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J’ai beaucoup aimé cette rencontre sucrée que j’ai savouré avec plaisir. Merci. Martine quai des rimes
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une Anouch pleine de talent-
je pique un pot de confiture !! big bisous-
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Bonjour élève Lilousoleil… Anouch confiture, c’est marrant comme traduction… mais tout en douceur, car on les aime ! Longue vie heureuse à ces deux-là… Sois la bienvenue à la cour de récré, MERCI à toi, bises de m’dame JB 😉
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